Dentifrice :  le produit le mieux classé par Que Choisir

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Dentifrice :  le produit le mieux classé par Que Choisir
Dentifrice :  le produit le mieux classé par Que Choisir © Adobe stock

Le magazine Que Choisir a comparé 24 modèles de dentifrice selon leur teneur en fluor, leur pouvoir nettoyant, leur composition et leur impact sur l’environnement. Quel est le produit le mieux classé ?

Les dentifrices déçoivent

Les dentifrices sont partie intégrante de l’hygiène dentaire. Que Choisir a passé à la loupe les dentifrices avec plusieurs épreuves : leur composition, leur prix, leurs qualités techniques et celles cosmétiques. «L’aspect, la texture, la quantité de mousse, le goût et son intensité, la fraîcheur en bouche (effet haleine fraîche)» ont été ainsi évalué. Des résultats en grande partie décevante, observe le magazine avec aucune note au-dessus de 13,9/20.

Bon dosage de fluor pour un seul dentifrice

le Fluocaril bi-fluoré menthe est le seul à contenir le bon dosage de fluor. La teneur en fluor est essentielle. «Selon tous les spécialistes de la question, au premier rang desquels l’Organisation mondiale de la santé, une quantité de fluor suffisante est la condition sine qua non de l’efficacité anticarie», souligne Que Choisir.

Les deux meilleurs dentifrices selon Que Choisir

Deux dentifrices arrivent en tête du classement avec une note ex æquo. Le dentifrice Fluoril mais qui perd un peu de points en raison de son prix (61 € le litre) ex æquo avec Colgate Triple Action disponible au prix de 12 € le litre mais avec une teneur en fluor moins forte.

Des dentifrices qui risquent d’abîmer l’émail

Que Choisir s’inquiète d’une trop forte abrasivité des dentifrices. Une abrasion conjuguée à un brossage trop vigoureux risque d’abîmer l’émail au lieu de la protéger. La rédaction remarque aussi la présence d’un produit irritant dans la composition de certains dentifrices. Il s’agit du sodium lauryl sulfate ajouter au produit pour le faire mousser.

Trop de colorants dans les dentifrices

Toujours dans les critères décevants relevés par la rédaction du magazine : la présence d’allergènes et les colorants. «Certains fabricants allant même jusqu’à intégrer des molécules interdites dans l’alimentation comme le dioxyde de titane», constate le magazine.

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